lundi 2 juillet 2012

Les études supérieures aux Etats-Unis de plus en plus onéreuses


Le coût de l'enseignement supérieur aux Etats-Unis a augmenté plus vite que le taux d'inflation sur l'année universitaire 2007/2008, en particulier dans les universités publiques, selon un rapport du College Board publié en octobre 2007.
Les frais d'inscription dans les universités publiques ont augmenté de 6,6 % par rapport à 2006-2007(soit une augmentation de 381 dollars) pour les étudiants résidant dans l'état où se situe l'université et de 5,5 % pour les étudiants résidant en dehors de l'état (soit une augmentation de 862 dollars). Dans les universités privées, les frais d'inscription ont augmenté de 6,3 %, soit 1.404 dollars. Les frais d'inscription ont crû plus rapidement dans les universités publiques entre 1997-98 et 2007-08 que dans la décennie précédente alors que ce n'est pas le cas dans les universités privées (ces dernières restant cependant bien sûr nettement plus chères). Les frais d'hébergement et de nourriture en résidence ont également augmenté de 5,3 % dans les universités publiques et de 5 % dans les universités privées.
Pourtant, cette année, de nombreuses universités publiques ont reçu des sommes importantes d'argent public. En somme, si une réduction des dépenses publiques au profit de l'enseignement supérieur fait augmenter de façon important les frais d'inscription, une augmentation de ces mêmes dépenses n'entraîne pas nécessairement une stabilisation ou une diminution des frais d'inscription.
Les raisons pour lesquelles les universités publiques continuent à augmenter les frais d'inscription malgré un support public accru varient d'un état à l'autre. Dans certains états comme la Virginie, les droits d'inscription ont continué à augmenter car les universités publiques n'ont pas encore surmonté les coupes budgétaires passées. Ailleurs, les universités publiques alourdissent ces droits afin de devenir plus compétitives, par exemple en offrant une meilleure rémunération à leurs enseignants. Ironiquement, l'accroissement des droits d'inscription dans certains états résulte directement de politiques dont l'intention est de faire diminuer ces frais. Par exemple, en Georgie les frais de scolarité ont crû de 15,5 % alors que le support de l'Etat a augmenté de 10,5 %, en raison du vote d'une nouvelle loi qui garantit que les étudiants entrant en première année ne verront pas leurs frais de scolarité augmenter dans les quatre années à venir. L'augmentation appliquée par les universités prend donc en compte une estimation des coûts à venir durant ces quatre années. Enfin, lorsque les montants des frais d'inscription sont gelés pendant un certain nombre d'années, une très forte augmentation peut survenir lorsque le gel est levé. A l'inverse, dans plus d'une douzaine d'états les droits d'inscription ont augmenté dans une moindre mesure cette année parce que des lois limitent l'augmentation des frais d'inscription ou encore en gèlent les montants.
Les aides financières accordées aux étudiants ont augmenté de 82 % sur les dix dernières années. Les étudiants ont bénéficié de plus de 130 milliards de dollars en bourses, prêts fédéraux, offres d'emploi à temps partiel, crédits et déductions d'impôts pour l'enseignement en 2006-2007 et près des trois quarts des étudiants en licence ont reçu une forme d'aide financière. En moyenne, les étudiants reçoivent 9.300 dollars d'aide par an sous forme de bourses et de bénéfices fiscaux dans les universités privées et 3.600 dollars dans les universités publiques. Mais l'accroissement de ces aides ne suit pas l'inflation constatée pour les droits et autres frais supportés par les étudiants.
Les prêts Stafford subventionnés par le gouvernement fédéral (pour lesquels le gouvernement paie les intérêts pendant la durée des études de l'étudiant) représentaient moins du tiers de l'ensemble des aides en 2006-2007, alors que ce pourcentage était de 54 % il y a dix ans. Les Bourses Pell, qui sont des bourses sur critères sociaux pour les étudiants à revenus faibles couvrent 32 % des frais d'inscription, de logement universitaire et de nourriture à l'université publique alors qu'elles couvraient 52 % de ces coûts il y a 20 ans. Le montant de la bourse Pell par étudiant, 2.494 dollars en 2006-2007 (en dollars ajustés de l'inflation) est 23 % plus élevé qu'il y a dix ans mais 5,3% plus bas qu'en 2001-2002. Le nombre d'étudiants qui reçoivent des bourses Pell a augmenté de 41 % de 3,7 millions à 5,2 millions en 10 ans, après avoir augmenté de 38 % dans la décennie précédente. Le total des dépenses pour les bourses Pell a diminué en chiffres réels pour la seconde année consécutive.
Les prêts fédéraux sont en moyenne la source principale d'aide que ce soit au niveau licence ou master-doctorat. L'ensemble des prêts fédéraux représente moins de la moitié de l'ensemble de l'aide pour les étudiants en licence (40 %) et joue un rôle beaucoup plus important au niveau master/doctorat. Bien que le support du gouvernement fédéral reste une source majeure d'aide financière, il ne couvre pas l'augmentation des coûts. C'est l'une des raisons pour lesquelles les étudiants se sont tournés vers les états fédérés et des organismes de prêt privés afin d'emprunter 18 milliards supplémentaires. Les étudiants qui souscrivent des prêts auprès d'opérateurs privés sont souvent ceux qui n'ont pas d'autre choix.
Il y a dix ans encore, les étudiants se tournaient rarement vers les prêts privés. Ces derniers sont aujourd'hui de plus en plus communs et posent un risque financier en raison de taux d'intérêts variables et d'un manque de protection en cas de chômage ou d'incapacité de travail. En 2006-2007, les prêts auprès des états fédérés ou de sources privées représentaient 29 % des prêts des étudiants en licence et 12 % des prêts souscrits par les étudiants de niveau master ou doctorat. La croissance des prêts privés était de 27 % par an dans les 5 années précédant l'année universitaire 2006-2007 mais a ralenti à une augmentation de 6 % l'année passée. On peut relever que les remous depuis le printemps autour du système de prêts, avec l'apparition généralisée d'affaires de corruption au sein des universités en parallèle de batailles capitalistique dans le secteur (voir BE Etats-Unis 75, OPA sur les prêts étudiants) pourraient induire du moins pour le proche avenir des inflexions, à la baisse, de cette activité (qui pourrait faire l'objet d'un encadrement plus strict via le Student Loan Sunshine Act).
L'évolution de ces données méritera d'être suivie dans les années à venir. En effet, une loi votée en septembre 2007 permettra d'augmenter largement l'aide fédérale pour les étudiants. Elle diminue radicalement les subventions accordées aux sociétés qui fournissent des prêts aux étudiants. Les économies ainsi réalisées permettront d'accroître le plafond des bourses Pell de 4 310 dollars en 2007 à 5.400 dollars en 2012, soit 11,4 milliards de dollars supplémentaires, et de diminuer par deux le taux d'intérêt sur les prêts Stafford subventionnés (de 6,8 % aujourd'hui à 3,4 % en 2011). Cette loi garantit également que l'effort financier de l'emprunteur ne représentera pas plus de 15 % de son revenu et que l'emprunt ne sera plus à rembourser au-delà de vingt-cinq années. 

Licence Professionnelle (LP)


La pré-inscription en ligne est obligatoire sur le site Web de l’ENSET de Rabat ou le site Web de l’Université Mohammed V Souissi.
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Conception du produit industriel

Etudes supérieures dans le privé au Maroc : 15 000 à 70 000 DH par an

Il faudra encore attendre quelques jours pour que les résultats définitifs du Bac soient connus. Mais pour nombre de candidats et de parents, les préoccupations sont ailleurs. Où s’inscrire pour les études supérieures, selon quelles procédures ? Ce sont des questions qui reviennent très souvent, d’autant que tout le monde n’aura pas la chance d’intégrer les grandes écoles publiques d’ingénieurs et de gestion, ou de trouver une place à l’étranger. Comme les facultés n’ont plus la cote, de plus en plus de nouveaux bacheliers et de non-bacheliers qui n’ont pas envie de reprendre une année au lycée, optent pour les écoles privées. Leurs portes ne sont cependant pas ouvertes à tous. Des tests ou concours sont organisés par les plus cotées, mais les moyens financiers constituent la principale barrière à l’entrée.

A moins de s’inscrire dans une école de moindre envergure, à la qualité des études douteuse. Tout en s’appuyant sur les sites internet, s’il en existe, La Vie éco a fait le tour de quelques grandes écoles de Casablanca, non pas pour comparer, mais pour s’enquérir des prix fixés pour une inscription en première année, ainsi que des enseignements prodigués.

Naturellement, les charges varient d’une école à une autre. Pour participer au concours de l’Institut des hautes études de management (HEM) ou l’Ecole supérieure internationale de gestion (Esig), il faut d’abord débourser 500 DH de frais de dossier. Un montant identique est demandé par l’Ecole supérieure de gestion (ESG) où l’admission se fait après des tests écrits et oraux. Idem pour l’Ecole supérieure de commerce et d’administration (ESCA). Mais ici, on précise qu’il y a 4 matières pour l’épreuve écrite et 2 entretiens (individuel et en groupe) à l’oral.

En revanche, le Centre d’enseignement des sciences appliquées (Cesa), qui accepte aussi des non-bacheliers (pour un diplômé de technicien) comme beaucoup d’autres écoles, et l’Institut supérieur du génie appliqué (IGA) ne prévoient pas de concours, mais organisent un test d’évaluation pour pouvoir orienter et situer l’étudiant.

Le coût total des études est à l’avenant de la notoriété de l’école. C’est ainsi que, d’abord, les frais d’inscription varient de 1 000 à 5 000 DH. Le Cesa les a fixés à 1 000 DH, l’IGA à 3 000 DH. A l’Esig et HEM, la facture est arrêtée respectivement à 4 500 DH et 5 000 DH.

Commencer ses études supérieures en Franc


Pour accéder à l'enseignement supérieur en France, les étudiants étrangers doivent, s'ils ne sont pas en possession du baccalauréat français ou européen, avoir satisfait aux conditions qui permettent l'accès à l'enseignement supérieur dans le pays où a été obtenu le diplôme de fin d'études secondaires. Ils devront justifier d'un niveau de compréhension de la langue française adapté à la formation envisagée.

PROCÉDURES D'ADMISSION

Les procédures d'admission varient en fonction du type d'établissement et de la formation envisagés.
  • L'inscription s'effectue directement auprès de l'établissement concerné dans les cas suivants :
    - étudiant ayant déjà été inscrit en licence ou en master dans une université française,
    - inscription en deuxième ou troisième cycle à l'université ou dans tout autre établissement à caractère spécifique,
    - recrutement par voie de concours.
  • L'inscription en classe préparatoire aux grandes écoles, en section de technicien supérieur, en Institut Universitaire de Technologie (IUT) est effectuée au moyen de la procédure Admission-Postbac.

LES DISPENSES

Sont dispensés de cette procédure et peuvent donc présenter directement une demande d'inscription à l'université de leur choix, les étudiant(e)s étranger(e)s :
  • titulaires du baccalauréat français, européen, franco-allemand ou international (ou d'un titre admis en dispense par une réglementation nationale) ;
  • candidats ayant la nationalité d'un des pays de l'espace économique européen ou de la confédération suisse ;
  • venu(e)s en France effectuer des études dans le cadre d'un accord inter-universitaire si ce dernier le précise (dans ce cas il mentionne également les modalités spécifiques d'inscription) ;
  • boursier(e)s du gouvernement français, d'organismes internationaux ou de gouvernements étrangers dont les bourses sont gérées par un organisme français agréé ;
  • apatrides ou réfugié(e)s politiques titulaires de la carte de l'OFPRA (Office français pour les réfugiés et les apatrides),
  • enfants de diplomates en poste en France et y résidant eux même.

Dans le cadre de cette procédure obligatoire, un examen est prévu, organisé par le Centre international d'études pédagogiques (C.I.E.P.), pour évaluer la compréhension écrite et orale de la langue française et pour apprécier l'expression écrite des candidats. Cet examen est payant (63 euros).

Sont dispensés de cet examen :
  • les ressortissants des États où le français est langue officielle ;
  • les étudiants étrangers issus des sections bilingues françaises figurant sur une liste établie conjointement par les ministères de l'éducation nationale et des affaires étrangères ;
  • les titulaires du DALF (diplôme approfondi de langue française, niveaux C1 et C2 du Cadre européen commun de référence) et les titulaires du DELF (diplôme d'études en langue française) niveau B2 ;
  • les candidats qui ont passé le test organisé par la Chambre de commerce et d'industrie de Paris (C.C.I.P.) et ont obtenu la note de 14/20 à l'épreuve d'expression écrite.

Ecoles supérieures en France


  • CERAM - Graduate school of management & Technology, Sophia Antipolis
  • CESI - Centre d'études supérieures industrielles, Paris
  • CESTI/ISCM - Centre d'études supérieures des techniques industrielles, Toulon
  • CFJ - Centre de formation des journalistes
  • CNAM - Conservatoire national des arts et métiers, Paris
  • CDI - Collège des Ingénieurs, Paris
  • CLE - Linguistique pour Etrangers, Tours
  • CPE Lyon - Ecole supérieure chimie physique électronique de Lyon
  • E3i - Ecole d'Ingénieurs en Informatique pour l'Industrie, Tours
  • ECAM - Ecole catholique d' arts et métiers
  • ECL - Ecole centrale de Lyon
  • ECN - Ecole centrale de Nantes
  • ECP - Ecole centrale Paris
  • EALR - Ecole d'Architecture du Languedoc-Roussillon, Montpellier
  • ESC Grenoble - ESC spécialisée en Management Technologique et Interculturel
  • Ecole du Louvre - Ecole du Louvre, Paris
  • Ecole Polytechnique - Ecole Polytechnique, Palaiseau
  • EHESS - Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, Paris
  • EISTI - Ecole Internationale des Sciences du Traitement de l'Information, Cergy
  • EMA - Ecole des Mines d'Alès, Alès
  • E.M.Lyon - European Entrepreneurial Learning, Lyon
  • EMSE - Ecole des Mines de Saint-Etienne
  • ENA - Ecole nationale d'administration, Paris
  • ENI - Ecole nationale d'ingénieurs de Brest
  • ENI - Ecole nationale d'ingénieurs de Metz
  • ENI - Ecole nationale d'ingénieurs de Saint-Etienne
  • ENI - Ecole nationale d'ingénieurs de Tarbes
  • ENITA - Ecole nationale d'ingénieurs des travaux agricoles de Bordeaux
  • ENITA - Ecole d'ingénieurs des travaux agricoles de Clermont-Ferrand
  • ENIC - ENIC Telecom Lille, Villeneuve d'Ascq
  • ENPC - Ecole Nationale des Ponts et Chaussées, Paris
  • ENSAM - Ecole Nationale Supérieure d'Arts et Métiers, Paris
  • Ecole Navale - Ecole Navale de Lanvéoc-Poulmic, Brest Naval
  • ENSAD - Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs
  • ENSA - Ecole Nationale Supérieure Agronomique, Rennes
  • ENSA - Ecole Nationale Supérieure Agronomique, Toulouse
  • ENS - Ecole Normale Supérieure de Cachan
  • ENS Fontenay - Ecole Normale Supérieure de Fontenay/Saint-Cloud
  • ENS - Lyon - Ecole Normale Supérieure de Lyon
  • ENS - Paris - Ecole Normale Supérieure, Paris
  • ENSAM - Ecole Nationale Supérieure d'Arts et Métiers, Bordeaux
  • ENSC Lille - Ecole nationale supérieure de chimie de Lille
  • ENSC Montpellier - Ecole nationale supérieure de chimie de Montpellier
  • ENSC Paris - Ecole nationale supérieure de chimie de Paris
  • ENSC Rennes - Ecole nationale supérieure de chimie de Rennes
  • ENST - Ecole nationale supérieure des télécommunications de Bretagne
  • EPHE - Ecole Pratique des Hautes Etudes, Paris
  • ESCP - Ecole Supérieure de Commerce de Paris
  • ESEO - École Supérieure d'Électronique de l'Ouest, Angers
  • ESLSCA - Ecole Supérieure Libre des Sciences Commerciales Appliqées, Paris
  • ESPCI - Ecole Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles, Paris
  • ESSEC - ESSEC Business School, Paris
  • Groupe ESC - Groupe Ecole Supérieure de Commerce Marseille-Provence
  • ENSCPB - Ecole Supérieure de Chimie et de Physique, Bordeaux
  • ENSERB - Ecole Supérieure d´Electronique et de Radioélectricité, Bordeaux
  • ENSERG - Ecole Supérieure d'Electronique et de Radioélectricité, Grenoble
  • ENSICA - Ecole Supérieure d'Ingénieurs en Construction Aéronautique, Toulouse
  • ENSEEG - Ecole d'électrochimie et d'électrométallurgie de Grenoble
  • ENSERG - Ecole d'électronique et de radioélectricité de Grenoble
  • ENSIC - Ecole nationale supérieure des industries chimiques de Nancy
  • ENSIMAG - Ecole Sup. d'Informatique et de Mathématiques Appliquées, Grenoble
  • ENSIETA - Ecole des ingénieurs des études et techniques d'armement
  • ENSM - Ecole nationale supérieure des mines de Paris
  • ENSM - Ecole nationale supérieure des mines de Saint Etienne
  • ENST - Ecole Nationale Supérieure des Télécommunications, Paris
  • ENST - Bretagne - Ecole Supérieure des Télécommunications de Bretagne
  • ENSTA - École Nationale Supérieure de Techniques Avancées, Paris
  • EPITA - Ecole Pour l'Informatique et les Techniques Avancées, Le Kremlin Bicetre
  • ESIEE - Ecole Supérieure d'Ingénieur en Electronique et Electrotechnique, Paris
  • ESIEE - Ecole Supérieure d'Ingénieur en Electronique et Electrotechnique, Amiens
  • ESIM - Ecole Supérieure d'Ingénieurs de Marseille
  • ESM 2 - Ecole Supérieure de Mécanique de Marseille
  • ESG - Ecole Supérieure de Gestion, Paris
  • HEC - Hautes Etudes Commerciales, Paris
  • IAE Paris - IAE de Paris, Paris
  • IECS - Institut Européen d'Etudes Commerciales Supérieures de Strasbourg
  • IESEG - Ecole supérieure de Commerce et de Gestion, Lille
  • IFREMER - Institut Francais de Recherche pour l'Exploitation de la Mer
  • IMFT - Institut de Mécanique des Fluides de Toulouse
  • INALCO - Institut National des Langues Orientales, Paris
  • INSEAD - European Institute of Business Administration, Fontainebleau
  • ISEOR - Institut de Socio-Economie des Entreprises et des Organisations, Ecully
  • IUFM Midi-Pyrénées - IUFM Midi-Pyrénées, Toulouse
  • IN2P3 - Institut National de Physique Nucléaire et de Physique des Particules
  • INAPG - Institut national agronomique Paris-Grignon
  • Institut de Cognitique - Ecole d'ingénieurs, spécialité Cognitique, Bordeaux
  • INP - Institut National Polytechnique de Toulouse
  • INPL - Institut National Polytechnique de Lorraine, Vandoeuvre
  • INRA - Institut National de la Recherche Agronomique, Paris
  • INSA - Lyon - Institut National des Sciences Appliquées, Lyon
  • INSA - Rennes - Institut National des Sciences Appliquées, Rennes
  • INSA - Rouen - Institut National des Sciences Appliquées, Rouen
  • INSA - Toulouse - Institut National des Sciences Appliquées, Toulouse
  • ICT Toulouse - Institut Catholique de Toulouse
  • Sciences Po - Institut d'Etudes Politiques de Paris
  • ISG - Institut Supérieur de Gestion, Paris
  • IFMA - French Institute of Advanced Mechanics, Clermont-Ferrand
  • INT Evry - Institut National des Télécommunications, Evry
  • INP Grenoble - National Polytechnical Institute, Grenoble
  • INP Toulouse - National Polytechnical Institute, Toulouse
  • ISEN - Institut Supérieur d'Electronique du Nord, Lille
  • ISIA - Institut Supérieur d'Informatique et d'Automatique, Sophia Antipolis
  • INALCO - Institut National des Langues Orientales, Paris
  • INSEAD - European Institute of Business Administration, Fontainebleau
  • ISEOR - Institut de Socio-Economie des Entreprises et des Organisations, Ecully
  • ISM - Institut Méditerranéen de Technologie, Marseille
  • IUFM Midi-Pyrénées - i.u.f.m. Midi-Pyrénées, Toulouse
  • SPEOS - Photographic Institute, Paris
  • Parsons Paris - Parsons Paris School of Design, Paris
  • ENSAE - Ecole Nationale Supérieure de l'Aéronautique et de l'Espace, Toulouse
  • Supélec - Ecole Supérieure d'Electricité